Le bonheur familial ne dure pas toujours longtemps. Il se trouve que le partage des biens des époux est retardé de plusieurs années. Et il peut être difficile de protéger vos droits de propriété, surtout si vous ne connaissez pas les bases du droit de la famille. Mais chaque pays a ses propres subtilités en matière de divorce, de sorte que le verdict final du tribunal dépend de la juridiction d'un État particulier.
le plus grand nombre de divorces dans le monde est en Italie. Premièrement, le tribunal prend une décision sur la séparation, seulement après que les ex-conjoints sont autorisés à demander le partage des biens. Si la femme était une femme au foyer, le mari est obligé de payer sa pension alimentaire jusqu'à ce qu'elle trouve un emploi ou un nouveau mari. Après le divorce, le conjoint a droit à une partie des biens communs.
En Inde, la dot, ou stridahna, est d'une grande importance dans le divorce. Par conséquent, les cadeaux pour le mariage sont bons. Intéressant droit de la famille en Suède. Ici, au cours de la première année de cohabitation, les époux n'ont aucun droit sur les biens de l'autre. 5 ans après l'enregistrement du mariage, le conjoint - et non le propriétaire du logement - peut revendiquer 1/5 des biens de l'autre moitié. Et seulement dans la 6ème année de mariage, les parties peuvent se séparer en deux.
En Grande-Bretagne, la propriété est divisée selon la conscience, c'est-à-dire de telle manière que chaque partie correspond à la contribution financière de chacune des parties. La pratique juridique montre que dans ce pays, la protection en cas de divorce n'est requise que par le mari, et non par la femme, puisque c'est lui qui fournit le logement à l'ex-femme et aux enfants, en versant en plus une indemnité à vie.
En Allemagne, la procédure de divorce est longue, elle peut durer environ 3 ans. En règle générale, le mari paie sa femme à vie selon le montant fixé par le tribunal. Cependant, s'il mourait, ses proches devraient le faire pour lui.
Le pays dans lequel la manière la plus libérale et démocratique de partager la propriété est légalisée est la France. Ici, les époux concluent un accord pour trois mois et résolvent toutes les questions liées au partage de l'acquis. Mais il n'y a pas partout des lois impeccables, par exemple, au Cambodge, la propriété est divisée en deux au sens littéral du terme. L'ex-conjoint a le droit de scier la maison et d'emporter l'épave avec lui.