La procédure d'exécution forcée est une procédure formelle visant à collecter des fonds matériels ou monétaires auprès d'un débiteur pour rembourser sa dette. Il existe un certain nombre de règles pour engager une procédure d'exécution.
Nécessaire
Document exécutif, déclaration du demandeur
Instructions
Étape 1
Pour engager une procédure d'exécution, vous aurez besoin d'un titre exécutoire. Dans le rôle d'un titre exécutoire, les titres exécutoires, les décisions de justice, les actes des institutions de l'État sur les infractions administratives ou les accords écrits sur la pension alimentaire sont considérés.
Étape 2
En plus de l'ordonnance du tribunal, vous aurez besoin d'une réclamation du demandeur (exigée par écrit). La demande doit mentionner explicitement la volonté d'engager la procédure d'exécution.
Étape 3
Cette demande doit être déposée auprès du service d'huissier de justice du lieu de résidence du débiteur. La demande peut y être déposée en personne ou envoyée par courrier.
Étape 4
La décision de refus ou d'ouverture de la procédure est prise par l'huissier, sur la base de la demande du demandeur. Cela doit être fait dans les trois jours qui suivent sa saisine du bureau exécutif.
Étape 5
Après avoir rendu une décision d'ouvrir la procédure, l'huissier doit transmettre une copie de l'acte au récupérateur, au débiteur et à l'organe étatique compétent qui a délivré l'acte d'exécution. Cela doit être fait le lendemain de l'émission de la commande.
Étape 6
La décision doit contenir des informations sur le délai d'exécution volontaire de la décision de justice (en règle générale, ce délai ne dépasse pas cinq jours). Le délai est calculé à partir du lendemain de la réception de la commande. Il est préférable de prendre le timbre à date sur l'enveloppe comme point de départ.
Étape 7
Si la commande n'a pas été volontairement exécutée dans le délai prescrit, la créance sera recouvrée de force. Pour cela, 7% supplémentaires de la dette totale sont facturés. Si le demandeur n'a pas commencé à recouvrer la dette dans les trois ans, le document exécutif devient invalide.