Malgré la réduction constante des fonctionnaires, leur nombre ne diminue pas, ce qui ralentit fortement le travail de tous les systèmes. Peut-être est-ce entièrement la faute des normes législatives établies dans de tels cas ?
Instructions
Étape 1
Comme les citoyens travaillant dans des structures privées, les fonctionnaires doivent être prévenus des licenciements à venir au plus tard 2 mois à l'avance (en personne et sur réception). Cette procédure n'est pas seulement envisagée dans le cadre de la liquidation des pouvoirs publics. Elle peut également être menée conformément au programme de réduction du nombre d'appareils bureaucratiques, qui est constamment annoncé depuis les plus hautes tribunes.
Étape 2
La réduction n'est soumise qu'en cas de liquidation de l'organisation:
- les personnes qui ont deux ou plusieurs personnes à charge;
- les mères célibataires élevant des enfants de moins de 14 ans (ou des enfants handicapés de moins de 18 ans);
- les femmes enceintes et les femmes en congé de maternité.
Étape 3
Le syndicat, le service de l'emploi et l'inspection du travail sont également prévenus 2 mois à l'avance des prochains licenciements collectifs ou uniques. Mais si le syndicat oppose son veto à de telles actions des employeurs (dans ce cas, l'État), la réduction peut être annulée ou suspendue.
Étape 4
Quoi qu'il en soit, mais le récépissé de confirmation du consentement au licenciement du fonctionnaire a été pris. Au cours des deux prochains mois, il continuera d'exercer ses fonctions. L'Etat doit soit lui proposer un poste équivalent dans un autre département du département, soit lui verser une indemnité pécuniaire à hauteur du salaire mensuel moyen dans les 3 mois suivant la réduction.
Étape 5
En outre, le salarié a la possibilité de suivre une reconversion aux frais de l'État. Selon ses résultats, il pourra postuler soit à un grade supérieur, soit à un emploi dans un autre département en fonction de ses qualifications.
Étape 6
Mais dans tous les cas, le salarié (ainsi que les membres de sa famille) conservera tous les avantages qui étaient disponibles pendant un an après la mise à pied. Même s'il est reconnu au chômage, la continuité de l'expérience professionnelle sera également maintenue pendant cette période, ce qui sera reflété dans le cahier de travail.