La réglementation juridique des activités du directeur général est assurée par la législation civile et du travail. Mais ces actes juridiques ne contiennent pas de définition univoque du statut de chef, ce qui provoque l'émergence de conflits juridiques. Pour limiter le PDG dans ses pouvoirs, il est nécessaire d'élaborer un acte normatif local réglementant ses activités, ou d'en tenir compte dans plusieurs actes juridiques de l'entreprise. Essayez l'une des méthodes suivantes.
Instructions
Étape 1
Créer un organe exécutif collégial. Dans ce cas, l'efficacité de la prise de décision en souffrira, et la législation ne permet pas l'utilisation des pouvoirs de l'instance collégiale pour limiter de manière significative les actions du chef d'établissement. Le conseil d'administration n'a pas le droit de contrôler le seul organe exécutif. Un administrateur qui exercera les fonctions de président du conseil d'administration peut faire l'objet d'abus.
Étape 2
Élaborer un règlement sur le directeur général, un contrat de travail, une description de poste pour le chef. Définissez dans cette réglementation locale, ainsi que dans les statuts de votre société, l'autorité du PDG. Elles peuvent être définies sous la forme d'une interdiction de commettre certains actes. Dans ce cas, l'efficacité d'une telle mesure dépendra du niveau de qualification de l'avocat qui entreprendra l'élaboration d'une telle liste de restrictions.
Étape 3
Écrivez clairement dans la Charte et les responsabilités professionnelles les orientations et les objectifs par lesquels le directeur doit être guidé. N'utilisez pas de termes vagues tels que « activités visant à augmenter ou à générer des bénéfices ». Cette formulation délie les mains du leader et lui donne l'occasion d'une interprétation et d'un abus étendus. Lier le résultat de son activité à la réalisation d'actions commerciales spécifiques et à l'obtention d'un résultat spécifique.
Étape 4
Le droit des sociétés contient des possibilités d'organisation de la gestion, qui peuvent également être utilisées pour limiter les pouvoirs du chef d'entreprise. Les redistribuer entre plusieurs instances et fixer des limites sur le montant des transactions conclues. Développer une procédure d'approbation et d'approbation des transactions majeures, une procédure spéciale pour les transactions avec des parties liées, introduire des restrictions sur la composition et les objectifs de la transaction.