Le don est une forme de transaction gratuite. Le propriétaire du bien a le droit de le donner à n'importe qui. Le donataire peut accepter le don ou le refuser, en tenant compte du fait qu'un accord a déjà été conclu ou que le don est offert oralement sans inscription légale.
Nécessaire
- - refus verbal;
- - refus écrit;
- - annulation de la transaction en justice.
Instructions
Étape 1
Si on vous propose de faire don d'un bien, mais que l'offre a été faite oralement, vous avez le droit de la refuser verbalement. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire d'établir de documents, car vous n'avez pas légalement émis le cadeau et ne l'avez pas accepté.
Étape 2
La forme juridiquement significative de la transaction est formalisée par une convention de donation. Il peut être conclu sous une forme écrite simple avec ou sans certification notariale, ainsi que confier l'exécution de l'acte à un notaire professionnel. Toutes les options sont considérées comme légales. Si vous avez déjà rédigé un accord, mais n'avez pas encore enregistré la propriété du bien donné, afin de refuser le don, vous devrez rédiger un document écrit, et il doit indiquer toutes les raisons pour lesquelles vous ne pouvez pas ou faites pas envie d'accepter le cadeau.
Étape 3
Le refus de faire un don est formulé par écrit simple si le contrat principal a été conclu de la même manière. Si vous avez certifié le contrat ou l'avez exécuté chez un notaire, vous devez compléter le refus par la même méthode.
Étape 4
Toutes les pertes causées au donateur par votre refus d'accepter le don, vous êtes tenu de compenser intégralement si le contrat a déjà été signé par les deux parties.
Étape 5
Lors de la conclusion d'un avant-contrat, qui indique que le donateur s'engage à faire don de son propre bien, le donateur du bien refuse de faire don, car le donataire n'a en réalité rien reçu ni acquis. Si une promesse préalable indique que le don ira au donataire après le décès du donateur, un tel document est considéré comme nul et non avenu et il n'a aucun sens de le refuser.
Étape 6
Le donateur a le droit de refuser d'exécuter le contrat à tout moment si son état financier ou matrimonial a changé, son état de santé s'est détérioré et l'exécution du contrat peut aggraver considérablement sa situation financière.
Étape 7
Le donateur peut refuser d'exécuter le contrat et le résilier si le donataire a commis un crime intentionnel dirigé contre la vie du donateur, de ses proches et des membres de sa famille.
Étape 8
Après enregistrement des droits de propriété sur le bien donné, la transaction peut être annulée et le don ne peut être refusé qu'en justice.