La plupart des entreprises emploient de la main-d'œuvre salariée de ressortissants étrangers. Mais en même temps, ils sont confrontés à un grand nombre de problèmes liés à la fois au statut juridique des étrangers et à la disponibilité des documents nécessaires pour un citoyen d'un État étranger.
Instructions
Étape 1
Tout d'abord, un citoyen étranger est obligé de délivrer un permis de travail dans les collectivités territoriales.
Étape 2
Après qu'un ressortissant étranger a reçu un permis de travail, l'employeur est tenu de notifier aux autorités territoriales qu'un contrat de travail a été conclu entre lui et le travailleur étranger pour une durée de dix jours. À l'avenir, l'employeur doit informer le service national des migrations du lieu de travail qu'il a embauché un citoyen étranger.
Étape 3
De plus, l'employé lui-même peut demander au service de migration le permis approprié. En même temps, il n'est pas obligé d'indiquer l'entreprise dans laquelle il obtient un emploi.
Étape 4
En règle générale, la délivrance d'un permis de travail spécial ne dure pas plus de dix jours ouvrables à compter de la réception d'une déclaration d'un citoyen étranger indiquant qu'il a reçu des documents lui permettant de travailler dans un pays donné.
Étape 5
Dans un délai d'un mois, un citoyen étranger est obligé de passer une commission médicale pour l'absence de maladies dangereuses, qui, selon la loi, ne lui permettent pas de travailler dans ce pays. De plus, le travailleur étranger doit présenter un certificat de la clinique de traitement de la toxicomanie confirmant qu'il n'est pas toxicomane. Dans les cas extrêmes, le permis de travail est annulé.
Étape 6
Un titre permettant à un ressortissant étranger de travailler plus d'un an peut également être délivré sur présentation d'une pièce d'identité au service des migrations. En cas de refus de délivrer le permis concerné, un citoyen étranger peut faire appel de cette décision devant un tribunal dans les trois jours ouvrables à compter du moment où il a reçu la notification.