Tout salarié ayant travaillé sous contrat de travail, en cas de licenciement, est tenu de payer tous les jours de congés non pris. Le congé annuel payé est de 28 jours calendaires selon le droit du travail. Dans certains cas, les vacances peuvent être un plus grand nombre de jours, par exemple, lorsqu'on travaille dans des conditions difficiles et dangereuses, lorsqu'on travaille dans le Grand Nord et territoires équivalents, avec des employés mineurs, etc.
Instructions
Étape 1
Le calcul du nombre de jours de vacances non utilisés est effectué en fonction de la période réelle de travail pendant laquelle les vacances n'ont pas été utilisées.
Étape 2
Si le salarié a travaillé moins d'un mois, l'indemnité de vacances n'est pas versée.
Étape 3
Les salariés en CDD ou en CDD bénéficient de 2 jours de vacances par mois travaillé.
Étape 4
Ceux qui quittent l'entreprise après avoir travaillé pendant 11 mois dans l'entreprise doivent être indemnisés pour la totalité des vacances, c'est-à-dire pendant 28 jours calendaires, à moins que les conditions de travail n'en disposent autrement.
Étape 5
Si un salarié part sans travailler un an, alors le nombre de jours de vacances doit être divisé par 12 (28: 12 = 2, 33) et multiplié par le nombre de mois entièrement travaillés. Si le dernier mois de travail a été travaillé pendant moins de 15 jours, l'indemnité pour ce mois n'est pas versée. Si plus de 15 jours, l'indemnité est versée pour le mois entier.
Étape 6
Dans les cas où un employé a pris des vacances à ses frais pendant plus de 14 jours calendaires, l'indemnité n'est pas versée pour tout le mois, c'est-à-dire qu'un mois est exclu du calcul.
Étape 7
L'accumulation des congés non pris se fait sur la base du salaire moyen de 12 mois ou de la période effective de travail. Le montant servant au calcul du salaire moyen ne comprend que l'argent gagné sur lequel l'impôt sur le revenu a été retenu. Les paiements reçus au titre des prestations sociales ne sont pas inclus dans le calcul des revenus moyens.